 Sujet: Alessandra Marsh ▬ Il y a autant d'étoiles dans le ciel qu'il n'y en a dans mon coeur, qui cherchent juste à être découvertes.  Dim 19 Aoû - 15:40 | |
| Marsh Alessandra ; « Pourquoi faire aujourd’hui c’que j’pourrais faire demain ? » -
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| ♛ Who the hell are u? Elle s’appelle Alessandra, mais tous ses amis l’appellent Aless’, parce que c’est plus court, comme tous les diminutifs. Elle a dix-huit ans, et est née quelque part dans la ville d’Edimbourg,et fait partie, jusqu’à ce jour, du groupe « beati pauperes spiritu ». Aless' travaille à mi-temps dans une librairie en tant que vendeuse, et quand elle n'y est pas, elle est au campus, suivant des études scientifiques.
N’est-ce pas merveilleux ? De toute façon, elle n’aime pas les autres groupes de sa connaissance, cela lui convient donc parfaitement. Oh, et d’ailleurs, son don n’est autre que le contrôle de l’encre. |
Physique
Alessandra a de petites tâches de rousseurs qui parsèment son nez ainsi qu’une petite partie de ses joues. C’est un trait chez elle qu’elle n’apprécie pas vraiment, mais elle n’a de toute façon pas vraiment le choix, et est obligée de les garder.
Elle porte aussi des bottines à talons plats, lui montant jusqu’en haut des chevilles. Elle les porte tout le temps, comme pantoufles, comme chaussures d’hiver ou d’été. Ce sont un peu des portes bonheurs.
| Tics & manies
• Lorsqu’elle est gênée, elle remet ses cheveux du côté gauche, même s’ils y sont déjà. En général, c’est là qu’est leur place, d’ailleurs.
• Elle lève les yeux au ciel ou soupire lorsque quelqu’un ou quelque chose l’insupporte. Il se peut aussi que ce soit juste de la lassitude.
• Lorsqu’elle lit, elle adore passer son index sur les pages qu’elle n’a pas encore lues, principalement lorsque le passage est particulièrement croustillant.
• Il lui est impossible de dormir si elle n’a pas une couverture sur elle, et ce, qu’importe la chaleur qu’il fait.
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Don « So what, you're bein' gifted or somethin'?
 | Le don que tu as reçu peut s’avérer assez utile, à qui sait s’en servir et a assez d’imagination pour cela –comme toi. Tu t’es déjà servie de ton don pour modifier des livres que tu donnais ensuite à des amis, pour être sûre qu’ils leur plairaient. Et d’ailleurs, ça te plaisait énormément de te servir de ton pouvoir pour modifier l’apparence de l’encre sur les pages, et donc recréer des mots sans avoir besoin de taper quoi que ce soit à la machine ou même imprimer. Les lettres se formaient en même temps que tu pensais les mots, et tu adorais cela. Et puis, plus tard, tu as su faire apparaître de l’encre, là où il n’y en avait pas. Parfois, tu t’amuses à te faire des tatouages sur la peau, tout en évitant la désagréable caresse des aiguilles. Et puis au moins, si un jour tu t’en lasses, tu ne seras pas obligée de vivre avec éternellement. Cependant, plus tu t’amusais à faire cela, plus tu te rendais malade. Ton organisme voyait cela comme un poison, certainement, et essayait de s’en débarrasser. Cependant, toutes les particules d’encres que tu as utilisées sur toi ne sont pas toutes parties, te rendant malade, et te faisant ainsi cracher une mixture visqueuse et bleuâtre. |
Caractère | Franche • Sportive • Rêveuse • Lunatique • Impulsive • Intelligente • Grande lectrice • Réservée • Émotive
Alessandra, on sait tous que tu es là sans l’être. Nous savons que tu as parfois tendance à t’évader dans un petit monde, dans ton monde de la réflexion. Parce que oui, nous le savons tous à présent, tu passes ton temps à réfléchir, que ce soit pour des choses importantes ou futiles. Parfois même, tu essayes de te convaincre des choses les plus absurdes. Comme tu n’admettras jamais tes torts, tu feras tout pour montrer que d’une certaine raison, tu avais bien raison, même si ce n’est qu’un tout petit peu. D’ailleurs, tes amis le savent bien, et n’essayent pas de te prouver le contraire, à moins qu’ils essayent vraiment de te pousser à bout. Surtout si ce sont des garçons, car d’après tous les livres que tu as lus, les femmes ont depuis toujours été celles qui venaient après le « sexe fort ». Pour toi, c’est de la pure injustice, puisque les femmes sont aussi forte que les hommes, seulement, elles ne le montrent pas toutes. Toi, tu prends un malin plaisir à relever tous les défis qui s’accumulent devant ton chemin, remettant ainsi les sexistes à leur place. Toi, tu n’as pas l’impression de l’être, sexiste. Tu as l’impression de rendre la monnaie de sa pièce à tous les hommes qui l’ont été envers les femmes. Cependant, sans vraiment t’en rendre compte, tu traites les hommes un peu de la même façon qu’ils traitaient les femmes. Or, lorsqu’on te fait cette remarque, tu le nies totalement. Après tout, c’est vrai, tu n’admets jamais tes torts.
Tu es quelqu’un qui préserve le peu d’amis qu’il a. Effectivement, tes amis sont pour toi comme ta seconde famille, et tu veux les préserver le plus possible. Avec eux, tu te montreras plus naturelle, moins sur la défensive, et surtout, tu seras prête à faire n’importe quoi pour eux. Si tu dois sauter d’un pont pour éviter que ce soit l’autre qui le fasse, tu le feras. Enfin, sûrement. Parce qu’il ne faut pas dire, mais se suicider à la place d’un autre, très peu pour toi, même si c’est ton meilleur ami. Tu aimes trop la vie pour cela, et de toute façon, l’encre te bouffe déjà de l’intérieur, te suicidant à petit feu, si l’on peut dire. Mais de cela, tu n’en as parlé encore à personne. Ton entourage est certes au courant de ton don, tu ne les en as pas pour autant informé du mal qui te ronge depuis que tu as commencé à jouer avec. Et tout cela pour quoi ? Pour les protéger, encore et toujours. Pour ne pas qu’ils s’inquiètent, mais surtout pour ne pas à ce qu’ils soient toujours aux petits soins pour toi, pour ne pas les avoir tout le temps dans les pattes. Alors oui, c’est peut-être un comportement égoïste, mais c’est ainsi. Tu ne pourras jamais le leur dire, à moins qu’ils ne le découvrent d’eux-mêmes.
Tu as de grands rêves, aussi. Tu rêves d’aller un jour dans l’espace, et de fouler de tes pieds le sol d’une autre planète, comme Niel Armstrong, en 1969. Tu aimerais connaître la sensation que l’on a lorsqu’on touche quelque chose de si lointain, lorsqu’on est sur Terre, quelque chose qui semble intouchable. C’est ton souhait le plus cher, mais tu doutes qu’il se réalise un jour. Cependant, un rêve n’est pas forcément là pour être réalisé, mais surtout pour faire avancer. C’est une lueur d’espoir que les humains se donnent lorsque la situation qu’ils connaissent tourne mal, comme en ce moment, alors que la Terre n’est plus ce qu’elle était. C’est ce que tu dirais certainement, si on te disait que tu ne mettras jamais un orteil sur le sol lunaire.
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Histoire « Story begins with a light in your heart.
Tu es née il y a dix-huit ans. Tu ne savais alors pas ce que serait ta vie, qui serait ton entourage, tes rêves, tes exploits, tes folies. Tu ne savais rien de tout cela, et maintenant encore, tu n’en es pas sûre non plus. Avec tout ce qui se trame, tu ne sais pas si tu ouvriras les yeux le lendemain matin. Alors, tous les jours que tu as la chance de vivre, tu les vis comme s’ils étaient tes derniers. Tu les vis à fond, et fais tout pour éviter l’ennui au maximum.
Depuis toute petite déjà, tu as été attirée par les livres. Par leur odeur, ce qu’ils avaient vécus, vus, tout ça. Tu adorais tourner les pages d’un roman d’action, ou essayer d’enquêter en même temps que l’inspecteur dans les romans policiers. Tu t’imaginais à la place des héroïnes, et maintenant encore, tu le fais. Plus tu grandissais, plus ton amour pour les livres grandissait aussi. Tes parents t’en offraient à chaque fois qu’ils le pouvaient, mais ne roulant pas sur l’or, c’était à la bibliothèque que tu allais les chercher, pour les ramener le lendemain, toutes les pages lues.
Tes parents te mirent à l’école dès que tu en eus l’âge. Là, tu t’amusais à faire peur aux élèves autant qu’aux professeurs. Tu utilisais ton pouvoir pour faire exploser les cartouches d’encre entre les mains des gens, puis riais comme une folle, sans te faire attraper. Cependant, plus tu grandissais, plus tu utilisais ton pouvoir à des fins pas vraiment… Nobles, dirons-nous. Au collège, tu trafiquais tes rendus de copies pour avoir de meilleures notes. Tu utilisais l’encre des stylos pour imiter les signatures de tes parents. Tu traînais avec des gens peu fréquentables, tu faisais l’idiote avec ton don, et c’est ainsi que tu commenças à tomber malade. La toute première fois que tu t’en rendis compte, ce fut lorsque tu vomis une mixture pâteuse et noire. Tu t’étais rendu compte que ce n’était rien d’autre que de l’encre chimique. Mais tu ne t’inquiétais pas, et continuais à manipuler ton don comme si de rien n’était. Tu étais une vraie petite rebelle à cette époque. Mais qu’est-ce qui t’a fait changer ainsi, si … radicalement ? C’est le rêve. Et l’espoir.
Au fin fond de la bibliothèque, alors que tu cherchais un livre que tu n’avais pas encore lu, tu découvris un livre d’astronomie. Dedans, tu découvris que des gens avaient marchés sur la Lune. Tu en avais entendu parler en cours, certes, mais tu avais fait la sourde oreille, parce qu’à ce moment, il y avait quelque chose de plus intéressant –que tu avais oublié tout de suite après. Tu avais fait glisser tes doigts sur le papier glacé, alors que la Lune t’hypnotisait. Tu empruntas alors tous les livres qui traitaient de près ou de loin à l’astronomie, et tu les lus toute la nuit. Alors, pour toi, tout était clair. Tu voulais à tout prix aller sur la Lune, pour aller flotter dans l’espace. Tu te dis que si tu avais la moindre chance d’y aller, même infime, tu devais la tenter et mettre tout de ton côté. Alors, tu commenças à t’investir en cours, et tes notes montèrent en flèche, sans aucune tricherie.
Les années passèrent, et très vite, tu as dû choisir ta filière. Alors, tu ne savais pas quoi faire, et un choix terrible allait se faire. Etudierait-elle la science, ou bien est-ce qu’elle irait dans les lettres, pour suivre sa passion ? Elle se fit embaucher dans une librairie lorsqu’elle eut atteint ses seize ans. Cela faisait deux ans que tu y travaillais, et tu avais opté pour une série scientifique, mêlant la physique et les sciences et vies de la terre.
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| Alessandra Marsh
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